sábado, 4 de diciembre de 2010

Elle (arriver) est arrivée très tôt à l’école.
Vous (mettre) avez mis vos gants.
Les enfants (prendre) ont pris leur repas.
Tu (croire) as cru le voir.

present

1.a
2.sont
3.ont
4.est
5.c'est
6.inventent
7.labourent
8.sèment
9.construisent
10.vivent
11.mènent
12.remplacent
13.disparaissent
14.couramment
15.regroupentcultivent
16.élèvent

video aceitando el carritoo

Activité:1.C' quel type de document?
2.Cuels sont les personnages?
3.Quels sont les actions qu'ils réálisent?




1- C'ent un publité.
2- Les personnages sont un monsieus et un dame.
3- Le monsieus aide à la dame un place le huile le charriot, parce que ilfait beuaucoup de bruit.

viernes, 3 de diciembre de 2010

1. Tu (marcher) as marché vingt kilomètres.
2. Elles (manger) ont mangé des fruits de mer au restaurant.
3. Nous (parler) avons parlé avec nos amis.
4. J' (oublier) ai oublié mes lunettes en classe.
5. Il (appeler) a appelé tous ses amis pour les inviter au restaurant.
6. Vous (chercher) avez cherché des livres à la bibliothèque.
7. Annie (acheter) a acheté de nouveaux disques.
8. Michel et Annie (inviter) ont invité leurs parents chez eux.
9. Mon colocataire et moi (nettoyer) avons nettoyé notre appartement.
10. Ton frère et toi (donner) avez donné tous vos vieux jouets.
11. Toute la classe (étudier) a étud

ié pour l'examen de mi-session.
12. Les étudiants (préparer) ont préparé un beau spectacle.
13. J'(jouer) ai joué du violon au concert.
14. Tu (dessiner) as dessiné le plan de ta nouvelle maison
On est partis c’était fin juin
On s’est embrassé serré la main
Un pour tous et tous pour un
Et puis chacun a pris son train
On avait tous aussi peur
On s’est juré la main sur l’cœur
Qu’on s’reverrait avant dix ans
On s’est revus et maintenant
De temps en temps on s’invite
Même si souvent on s’évite
On s’dit bien sûr j’m’en souviens
Mais on s’rappelle de moins en moins
Ça nous a pas rendus amers
On sait bien qu’on peut rien n’y faire

C’est la vie, c’est la vie,
C’est la vie qui nous change
Et qui dérange
Toutes nos grandes idées sur tout
C’est la vie, c’est la vie,
C’est la vie qui décide
Qui nous file des rides
Au coin des yeux et du cœur
A quoi ça sert d’aller contre
On perd son temps
Et quand on r’garde nos montres
Tout à coup on comprend
Y ’en a qui ont fait des enfants
Y ’en a d’autres qui ont dit j’attends
On a tous aimé les femmes
On s’est tous trouvés du charme
On est tous devenus quelqu’un
Dans son quartier ou plus loin
Bien sûr on s’est perdus de vue
Mais on n’appelle pas ça perdu
On s’est traités de tous les noms
On s’est tombés dans les bras
On n’a pas osé dire non
On a dit oui quand fallait pas
Ça nous a pas empêchés
De continuer à s’aimer

Pour la vie, pour la vie
Pour la vie qui nous change
Et qui dérange
Toutes nos p’tites idées sur tout
Pour la vie, pour la vie,
Pour la vie qui décide
Qui nous file des rides
Au coin des yeux et du cœur
Pas besoin de faire semblant
Ça sert à rien
Chaque jour qui passe on apprend
Qu’on peut jouer sans être comédien
A quoi ça sert d’aller contre
Ça sert à rien
Chaque jour qui passe on apprend
Qu’on suit tous le même chemin
La place Rouge était vide, devant moi marchait Nathalie,
il avait un joli nom, mon guide: Nathalie...

La place Rouge était blanche, la neige faisait un tapis
et je suivais par ce froid dimanche, Nathalie...

Elle parlait en phrases sobres de la révolution d'octobre
Je pensais déjà qu'après le tombeau de Lénine
on irait au café Pouchkine boire un chocolat...

La place Rouge était vide, je lui pris son bras, elle a souri
Il avait des cheveux blonds, mon guide, Nathalie... Nathalie

Dans sa chambre à l'université, une bande d'étudiants l'attendait impatiemment
On a ri, on a beaucoup parlé, ils voulaient tout savoir Nathalie traduisait

Moscou, les plaines d'Ukraine, et les Champs-Élysées
On a tout mélangé et on a chanté
et puis ils ont débouché en riant à l'avance du champagne de France
et on a dansé...

La, la la...

Et quand la chambre fut vide, tous les amis étaient partis
Je suis resté seul avec mon guide, Nathalie...

Plus question de phrases sobres
ni de révolution d'octobre, on n'en était plus là
Fini le tombeau de Lénine, le chocolat de chez Pouchkine
c'était loin déjà...

Que ma vie me semble vide, mais je sais qu'un jour à Paris
c'est moi qui lui servirai de guide, Nathalie... Nathalie
Moi je n'étais rien et voilà qu'aujourd'hui
je suis le gardien du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir.
Vous pouvez détruire tout ce qu'il vous plaira,
elle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras
pour tout reconstruire, pour tout reconstruire
je l'aime à mourir.

Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier
elle a fait de ma vie des cocottes en papier, des éclats de rires...
Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel
et nous les traversons à chaque fois qu'elle
ne veut pas dormir, ne veut pas dormir
je l'aime à mourir.

Elle a dû faire toutes les guerres pour être si forte
aujourd'hui elle a dû faire toutes les guerres de la vie,
et l'amour aussi.

Elle vit de son mieux son rêve d'opaline,
elle danse au milieu des forêts qu'elle dessine
je l'aime à mourir.
Elle porte des rubans qu'elle laisse s'envoler
elle me chante souvent que j'ai tort d'essayer
de les retenir de les retenir
je l'aime à mourir.

Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits
je dois clouer des notes à mes sabots de bois
je l'aime à mourir.
Je dois juste m'asseoir, je ne dois pas parler,
je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer
de lui appartenir, de lui appartenir
je l'aime à mourir.

Elle a dû faire toutes les guerres pour être si forte
aujourd'hui elle a dû faire toutes les guerres
de la vie, et l'amour aussi.

Moi je n'étais rien et voilà qu'aujourd'hui... (REFRAIN).